Dans le contexte actuel, il est plus que jamais essentiel de limiter les erreurs de recrutement. Tous les recruteurs le savent, un recrutement raté coûte très cher. 💸
Ce coût varie en fonction du poste, du niveau de responsabilité et de la durée que le collaborateur aura passé dans l’entreprise.
👉 Ces 2 statistiques suffisent à montrer l’importance de ne pas se tromper dans le recrutement et l’attention qu’il faut porter à l’onboarding !
💡 Dans cet article, nous vous présentons les indicateurs à surveiller pour mesurer la fiabilité de vos recrutements et pourquoi la cooptation est un excellent moyen d’y parvenir.
Pour progresser, il faut mesurer !
Le premier indicateur à suivre pour avoir de la visibilité sur vos erreurs de recrutement est le taux de validation des périodes d’essai. Cela tombe bien, c’est un indicateur assez facile à mesurer pour commencer. Il est plus difficile d’avoir de la visibilité sur les raisons des ruptures de ces périodes d’essai.
📌 La période d’essai est un moment d’apprivoisement réciproque.
Dans l’inconscient collectif (surtout celui des candidats) la période d’essai permet à l’entreprise de tester les capacités professionnelles et la productivité du nouveau salarié.
Ne vous y trompez pas, près de la moitié des périodes d’essai rompues le sont à l’initiative du salarié. Selon une étude réalisée par Welcome to the Jungle de 2019, 17% des employés quittent leur entreprise au cours des trois premiers mois.
Dans la plupart des cas, le nouveau collaborateur a les compétences professionnelles nécessaires pour prendre son nouveau poste en main (si le processus de recrutement est efficace !). Ce qui fait la différence n’est donc pas la productivité mais l’intégration du salarié dans son nouvel environnement de travail.
💡 Un programme de cooptation efficace augmente le nombre de périodes d’essai validées. Sur l’ensemble des recrutements par cooptation réalisés par les entreprises équipées de la solution de cooptation Basile, le taux de validation des périodes d’essai s’élève à 98,5%.
Le second indicateur pour mesurer la fiabilité de vos recrutements est la fidélité de vos salariés.
👉 Combien de temps vos collaborateurs restent-ils dans votre entreprise ?
Il est communément admis, que si un salarié quitte l’entreprise moins d’un an après son embauche, il s’agit d’une erreur de recrutement. Pour avoir une idée, l’observatoire du premier emploi (étude Ipsos) nous apprend que 46% des jeunes diplômés ont quitté leur poste dès la première année suivant leur embauche.
💡 Là encore, le recrutement par cooptation apparaît comme une solution efficace et innovante pour éviter les erreurs de recrutement. D’après une étude Jobvite, 47% des employés recrutés via la cooptation sont toujours en poste après 3 ans. A contrario ils sont 39% pour ceux ayant postulé depuis le site carrière et 14% depuis les jobboards.
Les salariés coopteurs restent eux aussi plus longtemps dans l’entreprise, un engagement mutuel a été créé.
Pour un salarié, coopter un candidat est un acte fort.
👉 Le collaborateur se porte garant du candidat qu’il recommande auprès de son entreprise. Le salarié ne va pas recommander un candidat s’il ne le pense suffisamment compétent ou expérimenté pour le poste vacant.
Sur l’ensemble des cooptations reçues par les entreprises utilisant la solution Basile :
✔ 76% des salariés coopteurs recommandent « fortement » le candidat coopté, ✔ 41% des salariés coopteurs ont déjà travaillé avec le candidat coopté.
Ces deux statistiques prouvent que les collaborateurs cooptent des candidats en qui ils ont confiance et souvent qu’ils connaissent professionnellement.
Qui connait mieux votre entreprise que vos collaborateurs ?
Si les recrutements par cooptation sont fiables, c’est parce que vos collaborateurs connaissent mieux que personne votre entreprise : ses métiers, ses habitudes, ses codes … Autant d’informations fondamentales pour savoir si le candidat que l’on coopte va “matcher” avec son entreprise et avec ses collègues !
Pour écrire son livre Hiring for attitude, Mark Murphy a réalisé une étude après de 20 000 recrutements. Il ressort de cette étude que 80% des erreurs de recrutements sont liées aux « soft skills » des candidats et non aux compétences techniques. L’intégration d’un collaborateur dans sa nouvelle équipe est fondamentale pour que le recrutement soit un succès. 👨👨👧👧
“Avec qui vais-je déjeuner pour mon premier jour ?”
Il est évident que l’intégration d’un nouveau collaborateur est facilité si ce dernier connaît quelqu’un dans l’entreprise. Lors de l’onboarding du candidat, le coopteur a un rôle important : expliquer, accueillir et présenter le nouveau collaborateur à ses collègues !
Avant même son premier jour, le candidat coopté a eu un certain nombre d’échanges avec son coopteur. Si les candidats cooptés valident plus leurs périodes d’essai c’est aussi parce qu’ils n’ont pas de mauvaise surprise en découvrant l’entreprise.
La cooptation facilite également l’onboarding professionnel. Le candidat coopté peut poser des questions à son coopteur, comprendre plus facilement le fonctionnement de l’entreprise. A terme, le nouveau collaborateur est productif plus rapidement ! 🚀
Pour conclure, la fiabilité des recrutements est un enjeu majeur pour les entreprises, encore plus dans le contexte actuel. Le taux de validation des périodes d’essai et la fidélité des collaborateurs sont des indicateurs qu’il est important de suivre. La cooptation est le meilleur moyen de faire des recrutements fiables.
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Articles collaboratifs rédigés par la team Basile.👨👨👧👧