Basile by Hellowork

6 KPI essentiels pour évaluer le ROI de votre programme de cooptation (et justifier son budget)

Rédigé par Admin | Jul 24, 2025 7:00:00 AM

Vous souhaitez mesurer la performance de votre programme de cooptation et justifier le budget alloué pour conserver l’adhésion de votre direction ? Pour cela, vous devez être capable de démontrer son impact concret sur vos recrutements. Voici 6 indicateurs à suivre de près.

 

1. La durée moyenne des recrutements via la cooptation

L’un des principaux avantages de la cooptation est la réduction significative des délais de recrutement. Selon les données Basile by hellowork, tandis qu’un recrutement classique prend en moyenne 90 jours, il est réduit à 30 jours grâce à la cooptation. Cette baisse considérable s’explique notamment par le travail de « pré-validation » de votre collaborateur qui vous recommande un profil. Mesurer et suivre cet indicateur permet de valider que votre programme tourne correctement, et de montrer que la cooptation vous permet de recruter plus vite sans perdre en qualité.

2. Le taux d’acceptation des offres par les candidats cooptés

Les candidats recommandés ne sont pas là par hasard : ils ont souvent déjà une image positive de votre entreprise, grâce à leur contact en interne. Résultat : ils sont plus enclins à accepter vos propositions. Pour valider la pertinence des candidatures transmises et l’efficacité de votre programme, mesurez le taux d’acceptation des propositions par les candidats cooptés, en comparaison des non-cooptés.

3. Le taux d’embauche via la cooptation

Combien de vos recrutements proviennent de la cooptation ? Suivre ce ratio vous permet de mesurer le poids réel de votre programme dans votre stratégie globale de recrutement. Un bon objectif à viser ? Entre 15 % et 30 % d’embauches via la cooptation, selon votre secteur d’activité ou si vous recherchez des profils pénuriques.

4. Le coût moyen d’un recrutement par cooptation

C’est un autre indicateur à suivre absolument. Calculez précisément le coût par embauche via la cooptation, pour démontrer qu’en plus de venir compléter vos autres techniques de recrutement, celle-ci est particulièrement rentable. Et bien sûr, venez comparer ce résultat au coût d’un recrutement via un cabinet de recrutement ou un travail de sourcing poussé.

5. Le taux de validation des périodes d’essai des candidats cooptés

Ce KPI est sans appel : 95 % des profils recrutés via cooptation valident leur période d’essai, selon des chiffres Basile by Hellowork. Pourquoi ? Parce qu’ils connaissent déjà quelqu’un en interne, ont tendance à mieux s’intégrer, sont mieux préparés à la réalité de l’entreprise, à son fonctionnement, et partagent ses valeurs. Un chiffre à suivre de près pour prouver la pertinence d’un programme de cooptation et ainsi réduire les erreurs de recrutement.

6. Le taux de rétention des profils

Un bon recrutement, c’est aussi (et surtout) un recrutement qui dure. Les candidats cooptés, mieux informés en amont sur l’entreprise, ont souvent une meilleure vision de ce qui les attend. Résultat : ils restent plus longtemps. Suivre leur taux de rétention à 1 an, 2 ans, voire 5 ans, vous permet de mesurer l’impact durable du programme sur la fidélisation. C’est aussi un excellent indicateur à partager avec votre direction pour montrer que la cooptation ne favorise pas seulement des recrutements rapides… mais aussi des recrutements solides.

Pour aller plus loin

Ces indicateurs constituent une base solide pour piloter efficacement votre programme de cooptation et en démontrer la valeur. Mais rien ne vaut l’exemple concret d’une entreprise qui a su transformer l’essai. ENGIE Solutions a par exemple structuré sa démarche en s’appuyant sur Basile by hellowork. Résultat : + de 250 recrutements en un an, un taux d’embauche à 58 % et deux tiers des collaborateurs engagés dans le dispositif.